Plusieurs pays et provinces ont été violemment touchés par la pandémie actuelle. Le constat n’est donc pas moins alarmant au Canada qu’au Québec. La réserve publique québécoise n’est plus sur ses beaux jours. Et les prévisions attendues d’ici 2023, après une dépense estimée à 21 milliards de dollars pour une relance économique, sont encore plus inquiétantes.
Un audit nécessaire sur des dossiers phares
Avec la perte de plus de 10.000 personnes de sa population actuelle, le Québec n’avait pas encore fini de pleurer le lourd tribut. Et voilà que s’ajoute le sort du trésor public presque sans fonds. Malgré la douleur, il faut cependant se relever de l’impact de la pandémie sur l’économie. Ainsi, il a été établi que les experts Québécois feront un audit généralisé sur 9 dossiers qui permettront d’établir une politique d’aide pour sortir de la crise.
Il s’agira bien évidemment d’une politique qui prend en compte le pouvoir des entreprises encore existantes malgré la crise, l’analyse des dépenses surréalistes effectuées, la politique de logement et d’autres points nécessaires pour une économie équilibrée.
2022 : les conséquences d’une baisse des dépenses
86% alors que le projet d’immunisation totale de la population n’est pas encore arrivé au 1/3 de sa réalisation. C’est le pourcentage qu’avance le responsable du parlement Québécois lorsqu’il prend note de la catastrophe économique qui s’abattra sur les entreprises et la population d’ici 2022.
En effet, mercredi dernier, il a été annoncé que les dépenses seraient passées de 159 G$ à 22,7 G$. Une politique qui permettra de souffler certes mais, Yves Giroux trouve que c’est insuffisant. Il n’est plus question d’injecter de l’argent, mais de réfléchir à un plan d’épargne parce que la dette publique vient d’avoir un surplus de 12,7 milliards de dollars après estimation faite de l’état du trésor public. Il serait donc impératif de faire appel aux particuliers s’y l’on tient à s’en sortir.