Il y a longtemps que le viager existe, mais il a connu un renouvellement d’intérêt chez les vendeurs. En effet le viager permet d’avoir un complément de rente. Surtout pour les personnes qui ont une petite retraite. Vendre un bien afin d’obtenir un revenu sur de longues années n’est pas chose banale. Il est nécessaire de se renseigner d’avance sur la procédure de cette vente.
La fixation du prix d’un viager
De façon générale, le prix d’un viager est subdivisé en deux types d’additions : le bouquet et la rente. Le bouquet représente la somme de démarrage dont le versement peut être effectué en entièreté au moment de la signature de la convention de vente. La rente est une pension mensuelle qui est reversée au propriétaire du bien jusqu’à sa mort. La rente constitue la base du viager. Pour en savoir davantage, rendez-vous sur Néo Viager. Le mode de calcul de la rente n’est pas facile à faire. Il est surtout fondé sur le prix du bien et la durée de vie minimum, donc sur l’âge de celui qui vend le bien soit donc le propriétaire. Si le vendeur est une personne d’âge avancé ceci accroît la valeur de la rente. Comme toutes les opérations immobilières, il est nécessaire d’avoir autour de soi les experts de l’immobilier. Qui connaît bien le déroulement du viager.
Les conditions du viager
Celui qui vend le bien immobilier doit en être le propriétaire. Toutefois l’acheteur peut être une personne morale tout comme physique. De façon générale, ce genre d’opérations se fait en présence d’un notaire. Toutefois le contrat peut être frappé de nullité si l’acquéreur sait que le propriétaire souffre d’une maladie pouvant entraîner une mort immédiate. Le contrat de vente peut-être annulé si le propriétaire qui vend son bien immobilier meurt vingt après la conclusion dudit contrat de vente.