L’amortissement, terme spécifiquement comptable, désigne la diminution de la valeur d’un bien immobilisé. Le critère d’évaluation de la valeur de cette dépréciation est consigné par une stratégie comptable établie d’une manière légale. Cette méthode est appelée principe d’amortissement. Qu’en est-il vraiment. Le présent article en dit long.
Les types d’amortissement comptable
N’étant pas un phénomène du hasard, son étude a permis d’en déduire deux catégories. L’amortissement linéaire et celui dégressif. Cette distinction ne fait pas perdre le sens réellement comptable de la notion d’amortissement. Vous pouvez apprendre ceci ici maintenant.
L’amortissement linéaire ou constant
Il englobe les dépréciations qui relèvent de l’équivalence chaque an. Il amortit le matériel d’une manière permanente sur toute sa période d’utilisation. C’est donc une remarque purement comptable de la dépréciation d’un bien, basée sur un critère de calcul dont le montant est constant.
L’amortissement dégressif
Il s’agit ici de la dépréciation forte qui s’effectue dès l’utilisation du bien. Cela permet à une entreprise de dresser, au sens comptable, le coût ou prix d’achat sur la durée d’utilisation du bien en jeu. Ce type d’amortissement considère une dépréciation plus précipitée du bien durant ses premières années d’utilisation.
L’énoncé du principe
Le compte d’amortissement attribué à un bien est identique au numéro du compte d’immobilisation auquel il est lié. Dressons donc la règle de calcul : Amortissement linéaire = Base x taux x temps. Amortissement dégressif : la simple méthode revient à diviser le nombre 100 par le temps d’utilisation et à faire le produit du montant et du coefficient. Une autre méthode est la suivante : taux d’amortissement degré multiplié par la valeur résiduelle. Ci récapituler le principe d’amortissement comptable. Il est à distinguer de la provision qui n’est qu’une réserve financière que l’entreprise a préalablement prévue pour contrecarrer certaines éventualités. Elle peut par exemple compenser les trous d’une dette contractée par l’entreprise.