La pandémie de Covid-19 a laissé dans les mémoires, un souvenir amer pourtant, elle n’a toujours pas dit son dernier mot. En effet, les conséquences sont assez dévastatrices au point où dans les deux prochaines années, il est fort possible que plusieurs personnes perdent leur emploi. C’est ce qui se passera malheureusement au Canada si les ménages ne provoquent pas plus de dépenses que prévu pour la reprise économique.
L’impact sur les prévisions de la reprise de l’économie
Lors de son allocution avant la présentation du rapport de l’OCDE, le sous gouverneur Lawrence S. explique que l’ensemble des fonds collectés auront un impact sur le sort de l’économie selon les usages faits en termes de dépenses. C’est une stratégie pour sortir le pays du chômage dans lequel ses habitants seront plongés dès 2022.
Par ailleurs, il rappelle qu’avec un projet d’immunisation totale, il est possible de réunir plus de 4 milliards de dollars injectable dans l’économie pour répondre aux exigences du premier trimestre de 2022. Cependant, malgré son optimisme avéré, Lawrence Schembri doute de la bonne fois des Canadiens à faire bon usage de l’épargne proposée pour soutenir cette relance.
L’avis partagé de l’OCDE par les dirigeants de la province
C’est sans remise en cause que la Banque apporte son soutien au Canada afin d’aider les entreprises et les citoyens qui ont vraiment senti le poids de la Covid-19 dans leurs prévisions budgétaires.
En effet, ceci permettrait de relancer plus de 30.000 emplois pour répondre au chômage forcé auquel avaient été contraints les concernés.
La seule condition pour y parvenir est la politique de relance qui exige des Canadiens une forte dépense afin de mettre en place une épargne. Dans le même temps, il est nécessaire de faire attention à ne pas accumuler une dette publique exorbitante. Avec une telle politique, il est indéniable que la reprise économique serait assurée. Cela n’empêche cependant pas le fait de soutenir davantage l’effort perçu.