En dépit des efforts consentis pour la relance effective de l’économie mondiale, la pandémie de Covid-19 fera parler d’elle sur le long terme. En effet, les empreintes qu’elle laissera conduiront à opérer des choix stratégiques les années à venir. C’est le cas du Québec qui devra établir un nouveau plan de relance de son économie budgétaire.
Un impact de 36 milliards de dollars sur plusieurs provinces
C’est ce jeudi, dans un rapport des experts financiers, qu’il a été lu et entendu pour la première fois que les conséquences de la crise de la
Covid-19 sur l’économie provinciale est de 36 milliards de dollars. En termes clairs, c’est plus une dette qu’une prise en main de la situation. En effet, les dépenses sur les finances sont estimées à 25 milliards de dollars.
Il est aussi essentiel de présenter néanmoins le déficit qui chutera pour un taux de 6,5 milliards de dollars malgré le PIB qui reste peu luisant. Le gouvernement a donc comme urgence de rétablir les relations diplomatiques pour un nouvel équilibre budgétaire.
Une croissance économique qui ne répond pas au besoin
Même si le PIB croît de façon exponentielle, il ne faut pas se leurrer. Cette évolution ne pourra pas régler les problèmes causés par la crise. En effet, outre le fardeau qu’infligent les réalités du terrain, il faut dire que les besoins fiscaux sont une charge plus lourde pour cette province.
Malgré les projections d’une croissance des dépenses en santé pour un taux de 4,9% et 3,3% en santé, les conjonctures ne seront probables que sur le court terme. Il est aussi prévu une baisse de productivité à cause d’un faible taux de PIB de 2024 à 2030. On peut donc comprendre qu’il ne peut avoir de relance effective avec un faible taux d’intérêt et un forçage de l’équilibre économique.